de 1450 à 1789

Le Roi de France a désormais établi son pouvoir sur la Dordogne, et l’époque de la cour succède à celle de la féodalité. Les traces LA CROPTE vont aussi se faire plus parisiennes.

La branche La Cropte aînée établie à Lençais s’étant éteinte, l’avenir du nom repose sur la descendance d’Hugues de La Cropte (1396-1448), qui a épousé Marie Vigier, dame de Chantérac.

Différentes lignées vont se développer qui comme l’usage le veut alors porteront le nom La Cropte suivi du titre de seigneur d’ici ou de là : seigneurs de La Mothe, de Portafé, de Chassaignes, de Frampalais, de la Meynardie, de Bourzac, de Saint-Abre, de Chantérac.

Le temps passant, les usages évolueront et le titre de seigneur tombera en désuétude et les titres de vicomte, comte et marquis prennent en quelque sorte le relais.

A la veille de la révolution ne subsistent que trois branches :

  • celles de Bourzac et de Saint-Abre, issues du fils aîné d’Hugues, Bertrand de la Cropte, né vers 1428 s’éteindront au siècle suivant.
    Branche La Cropte de Bourzac

Branche La Cropte de Saint-Abre

  • celle de Chantérac, issue du fils cadet Jean de La Cropte qui eut le domaine de Chantérac dans son lot lors de l’héritage de sa mère Marie Vigier.
    Branche La Cropte de Chantérac